supported by 32 fans who also own “Nihilist Manifesto”
"La mort n'existe ni pour les vivants ni pour les morts" écrivait Épicure et ça reste toujours vrai : personne ne peut en faire l'expérience — sauf NONE, formation américaine qui en a fait son leitmotiv. Les membres du groupe sont inconnus et son premier album n'a pas de nom ; même le paysage sur la pochette est vaporeux. Si le DSBM est déjà d'une tristesse funèbre qui serre le cœur, les passages atmosphériques donnent à entendre les âmes en peine de l'autre côté du voile. Un début magistral... Jordan Vauvert
supported by 30 fans who also own “Nihilist Manifesto”
Shivery and cold, yet with a subtle feeling of warmth enfolding each track. It's instantly engaging, with a great message overall and a cinematic story behind "Neswa-Pawuk". It's emotional without losing the black metal spirit. Umbra Cornuta
supported by 29 fans who also own “Nihilist Manifesto”
Quel que soit le genre abordé, Saman Nu ne se contente jamais d'une seule couleur. Il utilise les mêmes pinceaux sur Silent Path que sur Ekove Efrits avec une pallette beaucoup moins flamboyante, toute en nuances de noirs. Si Mourner Portraits respecte avec talent les codes du black metal dépressif (avec guitares répétitives lancinantes et tempo lent), ce sont les atmosphères qui sont encore une fois le vrai point fort, véhiculant désespoir total voire pures visions d'horreurs liées à la guerre. Jordan Vauvert
Joseph Hawker subverts the musical and sociopolitical status quo with a black metal triptych that's as incendiary as it is impressionistic. Bandcamp New & Notable Jan 5, 2022
supported by 29 fans who also own “Nihilist Manifesto”
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert